Portés par la psychédélie, le garage et le post-punk, CAPSULA ont tracé une voie visionnaire et magnétique au sein de la scène rock’n’roll internationale.
Des albums comme Rising Mountains (BCore, 2009), produit par Ivan Julian (Richard Hell and the Voidoids), et In the Land of Silver Souls (BCore, 2011), produit par John Agnello (Sonic Youth, Dinosaur Jr.), ont reçu les éloges de Rolling Stone et de Little Steven’s Underground Garage, où leur titre “Wild Fascination” a été élu “Coolest Song in the World”.
Au cours de leur carrière, CAPSULA a donné plus d’un millier de concerts à travers l’Europe, les États-Unis, l’Amérique du Sud et l’Asie, laissant leur empreinte sur des festivals majeurs tels que Primavera Sound (Espagne), Austin Psych Fest (États-Unis) et SXSW. Ils ont partagé la scène avec des légendes comme Iggy Pop et Pearl Jam, canalisant une électricité brute et forgeant un lien indéfectible avec leur public.
En 2013, ils sortent Solar Secrets, produit par Tony Visconti (producteur de David Bowie), un album qui marque un tournant et capture l’essence cosmique et indomptée du groupe. Ils ont également réalisé plusieurs sessions live à la légendaire radio KEXP à Seattle, où leur énergie brute et électrisante a laissé une impression durable auprès des auditeurs comme de l’équipe.
Entre 2016 et 2019, CAPSULA s’associe au label français Vicious Circle et publie trois disques qui élargissent leur univers sonore : Santa Rosa (2016), Dreaming of Ziggy (2017) et Bestiarium (2019). Le label — foyer de groupes tels que Slift et Mars Red Sky — s’avère être le partenaire idéal pour une période d’explosion créative. Ce furent des années de tournée, de fuzz, de delay et de psychédélisme : un voyage qui repoussa les limites du son du groupe, explorant de nouveaux territoires mentaux et mettant leur énergie à l’épreuve sur chaque scène.
En 2022, le groupe embrasse une indépendance totale avec Phantasmaville, enregistré et produit dans leur propre studio — un nouveau jalon dans leur évolution artistique. Leur album le plus récent, Primitivo Astral (2024), a reçu un large accueil international : Rock & Folk (France) l’a salué comme “un son rock sans équivalent aujourd’hui” (☆☆☆☆), tandis que Clash Magazine (Royaume-Uni) l’a décrit comme “un voyage psychédélique mêlant des influences des années 60 et 70”. Louder Than War (Royaume-Uni) l’a qualifié “d’impulsif, hypnotique et vibrant”, et It’s Psychedelic Baby Magazine (Italie) a noté que Primitivo Astral “puise dans quelque chose d’ancien et de cosmique”.
Mêlant la passion et l’intensité du rock sud-américain — dans l’esprit de Pescado Rabioso — à la férocité de Black Sabbath et au mysticisme cosmique de l’âge d’or de David Bowie, CAPSULA continue de repousser les frontières du rock contemporain. À chaque concert, le groupe et son public fusionnent en une seule vibration — volume, énergie et pure communion. Chaque spectacle devient un rituel électrique où le temps se suspend et où l’expérience partagée devient le cœur battant de CAPSULA.
Primitivo Astral
Sorti en octobre 2024, Primitivo Astral représente un sommet dans les 25 ans de carrière de CAPSULA. Cet album électrisant combine énergie brute, vibrations cosmiques et exploration sonore, réunissant le meilleur du passé et du présent du rock. Des titres comme “Spelling Love”, “Estrellas Dobles” et “(In the Garden of) Narcissus” montrent leur capacité à hypnotiser et à surprendre.
Le titre Primitivo Astral capture la fusion entre le terrestre et le cosmique, réunissant des influences de heavy psych, de post-punk et de stoner rock avec une vision futuriste. Selon Martín Guevara, “Primitivo Astral est un voyage où les riffs sont toujours la pierre angulaire de tout ce que nous faisons. C’est un voyage fantastique, un voyage intérieur sous forme de bande dessinée cosmique, avec peu de mots qui passent d’une langue à l’autre, comme s’ils étaient des êtres de petites planètes observant et synthétisant.”
Coni décrit l’album comme “une croisée entre ce qui semble ancien et ce qui ressemble à de la science-fiction, un équilibre constant entre le familier et l’inconnu.” Elle ajoute : “Le contexte est l’irréel, l’intangible — la possibilité de comprendre notre environnement à travers le fantastique. La musique a toujours été notre moyen d’explorer, mais elle est aussi le reflet de notre réalité transformée.”
Les chansons ont été composées et enregistrées avec une totale liberté créative, grâce au contrôle complet du groupe sur leur environnement de studio. Cela leur a permis d’expérimenter des textures sonores et des dynamiques innovantes. Martín note : “Nous avons appris à combiner le matériel visuel, la fantaisie et la mémoire sur la route — c’est une partie de notre dynamique.” Coni ajoute : “Cet album a une énergie directe, brute et une force particulière.”
Rock & Folk: "Un rock sans équivalent aujourd’hui" ☆☆☆☆ — Jérôme Soligny
Clash Magazine: "Un voyage psychédélique mêlant des influences des années 60 et 70."
Louder Than War: "Impulsif, hypnotique et vibrant."
It’s Psychedelic Baby Magazine: “Primitivo Astral puise dans quelque chose d’ancien et de cosmique”